
PIERRE DE MAERE
Pierre de Maere, la nouvelle révélation venue de Belgique, poursuit son ascension. Les hostilités sont lancées en 2022 avec la sortie de son premier EP “Regrets”.
Porté par une couverture médiatique et populaire fulgurante, le succès de son single d’or “Un jour je marierai un ange”, des scènes remarquées en France et en Belgique, Pierre de Maere ne cesse de nous surprendre et de relever les défis.
Il construit déjà sa vie comme une œuvre, artiste sublimé par l’art, profondément libre, irradié par l’instinct, insolemment lucide malgré une vingtaine à peine sonnante.
A califourchon entre la musique, la mode, la photo. Le style Pierre de Maere (prononcer mare) est à l’image des audaces vestimentaires du jeune belge : flamboyant, irisé, mutant.
Grand, silhouette longiligne, coupe au bol, gestuelle expressive. Dandy moderne, esthète à l’extravagance chic, incarnation du « twink » camouflé derrière des parures luxueuses.
Des oreilles ivres de morceaux mainstream, des premières compositions à l’âge de douze ans. Ni cours de chant ni solfège, seulement quelques cours de batterie.
Lorsqu’il replace il y a un et demi la musique au centre de ses intérêts, cet éduqué enfant du désordre ne fait pourtant pas de plans sur la comète.
Pierre de Maere appartient à cette génération qui ne s’encombre pas des références ou des classifications.
C’est un garçon qui lit l’intégrale de Picsou au coin du feu, Pink Floyd en fond sonore. Fasciné aussi par Willy Wonka de Charlie et la Chocolaterie et Lady Gaga.
Il compose au piano et à l’ordinateur comme on imagine un cocktail en tentant des combinaisons, précisant les dosages, affinant les associations.
L’écriture sème, elle, des balises, joue sur les multiples lectures, défie les codes. Charme fou et mouvant des morceaux, un peu comme si Stromae faisait des câlins à Yelle, Rufus Wainwright et à la pop des eighties.